Insulin-like growth factor-1 (Igfi) gene polymorphism and its effect on egg quality traits of three chicken genotypes reared in hot humid tropics
DOI:
https://doi.org/10.51791/njap.v49i6.3860Keywords:
Growth hormone, SNPs, FUNAAB Alpha, Sasso, Kuroiler, IndigenousAbstract
A study was conducted on the effect of gene polymorphism of Insulin like Growth Factor-1 (IGFI) on egg quality traits in three chicken genotypes. A total of 250 chicken comprising 150 FUNAAB-Alpha (50 Normal feather, 50 Naked neck and 50 Frizzle feather), 50 Kuroiler and 50 Sasso were used for this experiment. At point of lay, 30 hens per genotype were selected and transferred into a battery cage of one unit per bird. Data was collected on the egg quality traits, 30 eggs for each genotype was collected. All collected data was subject to analysis of variance using a completely randomized design, of which genotype was the interest factor. At 16 weeks, 1ml of blood was collected from each hen and extraction of genomic DNA from the blood was done. PCR was conducted using the pair of primer and condition as described by Nagaraga, et al. (2000). The PCR amplicons were digested using PstI restriction enzymes following the manufacturer’s procedure. The resulting fragments were analyzed using GenAnalyzer (GenAlEx 6.502) was used for the genetic diversity of the IGFI locus. This data was subject to the PROC GLM of SAS 9.2. Results showed the chicken genotypes significantly (P<0.05) affect all the egg-quality traits except the shell weight, yolk ratio and albumen ratio. The IGFI gene polymorphism had no significant effect (P>0.05) on egg quality traits for except the egg length and egg width.
Une étude a été menée sur l’effet du polymorphisme génique du facteur de croissance analogue à l'insuline (IGFI) sur les caractéristiques de qualité des œufs chez trois génotypes de poulet. Un total de 250 poulets comprenant 150 FUNAAB-Alpha (50 plumes normales, 50 cou nu et 50 plumes Frizzle), 50 Kuroiler et 50 Sasso ont été utilisés pour cette expérience. Au moment de la ponte, 30 poules par génotype ont été sélectionnées et transférées dans une cage en batterie d'une unité par oiseau. Des données ont été collectées sur les traits de qualité des œufs, 30 œufs pour chaque génotype ont été collectés. Toutes les données recueillies ont fait l'objet d'une analyse de variance selon un design complètement randomisé, dont le génotype était le facteur d'intérêt. À 16 semaines, 1 ml de sang a été prélevé sur chaque poule et l'extraction de l'ADN génomique du sang a été effectuée. La PCR a été réalisée en utilisant la paire amorce et condition décrite par Nagaraga et al. (2000). Les amplicons PCR ont été digérés à l'aide d'enzymes de restriction PstI selon la procédure du fabricant. Les fragments résultants ont été analysés à l'aide de GenAnalyzer (GenAlEx 6.502) a été utilisé pour la diversité génétique du locus IGFI. Ces données ont été soumises au PROC GLM de SAS 9.2. Les résultats ont montré que les génotypes de poulet affectent de manière significative (P <0,05) tous les caractères de qualité des œufs, à l'exception du poids de la coquille, du rapport de jaune et du rapport d'albumen. Le polymorphisme du gène IGFI n'a eu aucun effet significatif (P>0,05) sur les caractères de qualité des œufs, sauf la longueur et la largeur des œufs.